Saturday, November 1, 2014

LA JUSTICE DE LA RDC A TUE Mr MAKANDA CONSTANTIN

Mr Makanda wa Makanda connu sous le nom de Constantin est un ancien travailleur de l'administration, du CFL, et a terminé sa carrière professionnelle après avoir demandé une pension prématurée, à la SNCC où il travaillé pendant plus de trente ans.Mr Makanda,par ses services rendu à la nation au service de contôle de recettes à la Sncc était donc un contribuable.En tant que syndicaliste, il a rendu d'enormes services aux travailleurs de la Sncc. Mr Makanda voulait se rassurer que son futur après sa retraite soit meilleur jusqu'à ce que le très haut l'appelle malheureusement il est parti sans avoir pris du repos et jouir de sa pension. Mr Makanda avait acheté une parcelle sur l'avenue de la justice dans le quartier Kimbuanbua dans la ville de Lubumbashi.Le vendeur est un ancien de la Sonas connu sous le nom de Pele.L'homme avait garanti à Mr Makanda que la dite parcelle n'avait aucun problème.Tout était fait en bonne et due forme.16000 Dollars furent remis à Mr Pele pour l'obtention d'une portion de la parcelle, c'était le morcellement comme on le dit en RDC.Mr Makanda s'était decidé de détruire la bicoque en block ciment que Pele avait construite.Il a construit une nouvelle maison de la fondation jusqu'au placement de la toiture.Pendant tout ce temps personne n'était venue pour réclamer quoique c'est soit. Un jour un homme est venu s'est présenter disant qu'il était le propriétaire de la parcelle qu'occupait Mr Makanda.C'est le début d'un problème.L'homme déclara qu'il avait déja acheté cette parcelle là mais qu'il n'avait pas terminé la dette.Le parquet saisi de ce problème tranchant en faveur de Mr Makanda.Cet homme a continué à harcéler Mr Makanda jusqu'au jour où il a amena des éléments militaires pour le faire déguerpir, sans préavis ni autorisation du parquet.Mr Makanda; toute sa famille et tous leurs biens se sont retrouvées en dehors de la parcelle.Cet homme,qui est un officier de la FARDC, a commis beaucoup d'infractions: la menace de mort, l'utilisation des éléments militaires de l'armée congolaise à ses fins propres.Dégeurpissement forcé sans l'autorisation de la justice. Le problème s'est retrouvé encore au parquet.Ce dernier trancha encore en faveur de Mr Makanda.Il lui était demandé de versé un montant s'élevant à 1000 Dollars enfin d'obternir une lettre de déguerpissement du Colonel est ses sujets qui empêchaient quiconque de la famille Makanda de mettre les pieds autour de la parcelle. Vu qu'il continuait toujours à perdre, ce Colonel decida d'amener le problème à la court d'appel à Kinshasa.C'est au mois de Novembre 2014 qu'était prévu l'audience.Mr Makanda devait payer le billet aller et retour pour lui et son avocat, alors qu'il venait de payer 1000 Dollars au parquet.On se demande pourquoi le parquet n'a pas voulu terminer ce problème au niveau de Lubumbashi. Dès le jour où Il a été mis en dehors de sa maison Mr Makanda a piqué une crise d'hypertension.La crise s'est accentuée au point qu'au mois de Septembre Mr Makanda s'est retrouvé dans le coma et est décédé le 10 Octobre 2014. Nous demandons à la justice congolais de remettre la maison à la famille Makanda, de demander au soit disant Colonel de dédommager la famille en payant tous leurs biens qui sont abimés pour avoir été pendant des mois en dehors de la maison.

Saturday, August 10, 2013

QUELS SONT LES DROITS DE L'HOMME

Que sont les droits de l’homme Les droits de l’homme sont les droits inaliénables de tous les êtres humains, quels que soient leur nationalité, lieu de résidence, sexe, origine ethnique ou nationale, couleur, religion, langue ou toute autre condition. Nous avons tous le droit d’exercer nos droits de l’homme sans discrimination et sur un pied d’égalité. Ces droits sont intimement liés, interdépendants et indivisibles. Les droits de l’homme universels sont souvent reflétés dans et garantis par la loi, sous forme de traités, de droit coutumier international, de principes généraux et autres sources de droit international. La législation internationale sur les droits de l’homme stipule que les gouvernements sont tenus d’agir d’une certaine manière ou de renoncer à certains actes afin de promouvoir et protéger les droits et les libertés fondamentales de certaines personnes ou groupes. Universels et inaliénables Le principe de l’universalité des droits de l’homme est la pierre angulaire de la législation internationale des droits de l’homme. Le principe, proclamé pour la première fois dans la Déclaration universelle des droits de l’homme en 1948, a été réitéré dans de nombreuses conventions, déclarations et résolutions. La Conférence mondiale de Vienne sur les droits de l’homme de 1993 a noté, par exemple, que les Etats ont pour devoir de promouvoir et protéger tous les droits de l’homme et toutes les libertés fondamentales, quel que soit le système politique, économique ou culturel. Tous les Etats ont ratifié au moins un des traités fondamentaux sur les droits de l’homme et 80 pour cent en ont ratifié quatre ou davantage, montrant ainsi que les Etats acceptent des textes qui leur imposent des obligations légales et donnent une forme concrète au principe d’universalité. Certaines normes fondamentales des droits de l’homme jouissent de la protection universelle du droit coutumier international, qui ne connaît ni frontières, ni barrières de civilisations. Les droits de l’homme sont inaliénables. Ils ne peuvent être abrogés, sauf dans des circonstances particulières et conformément à une procédure spécifique. Le droit à la liberté peut, par exemple, être limité si un tribunal reconnaît la personne coupable d’un crime. Interdépendants et indivisibles Tous les droits de l’homme sont indivisibles, qu’ils soient civils ou politiques, notamment le droit à la vie, l’égalité devant la loi et la liberté d’expression ; les droits économiques, sociaux et culturels, comme le droit au travail, à la sécurité sociale et à l’éducation ; ou les droits collectifs, comme le droit au développement et à l’autodétermination, sont indivisibles, liés et interdépendants. L’amélioration d’un droit facilite le progrès des autres. De la même manière, la privation d’un droit a un effet négatif sur les autres. Egaux et non discriminatoires UNICEF photoLa non discrimination est un principe universel dans la législation internationale des droits de l’homme. Le principe existe dans tous les grands traités sur les droits de l’homme et sert de thème central pour certaines conventions internationales comme la Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale et la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes. Le principe de la non discrimination en matière de droits de l’homme et de libertés s’applique à toutes les personnes et interdit toute discrimination basée sur une liste non exhaustive et comprenant le sexe, la race, la couleur, etc. Ce principe s’accompagne du principe de l’égalité, qui figure dans l’Article premier de la Déclaration universelle des droits de l’homme : "Tous les êtres humains naissent libre et égaux en dignité et en droits". A la fois des droits et des obligations Les droits de l’homme impliquent à la fois des droits et des obligations. Le droit international impose aux Etats l’obligation et le devoir de respecter, protéger et instaurer les droits de l’homme. Respecter les droits de l’homme signifie que les Etats évitent d’intervenir ou d’entraver l’exercice des droits de l’homme. Protéger signifie que les Etats doivent protéger les individus et les groupes contre les violations des droits de l’homme. Instaurer signifie que les Etats doivent prendre des mesures positives pour faciliter l’exercice des droits fondamentaux de l’homme. Au niveau individuel, nous avons certes le droit d’exercer nos droits de l’homme, mais nous devons aussi respecter les droits des autres. Source de provenance Monusco

Thursday, August 8, 2013

L'ETAT DE SANTE DE DIOMI NDONGALA EST INQUIETANT

On parle de plus en plus à travers la ville, de l’état de santé du député élu de la circonscription de la Funa à Kinshasa, Eugène Diomi Ndongala, qui croupit à la prison de Makala depuis le 8 avril 2013. Cela suscite des inquiétudes. Le constat est des organisations non gouvernementales de défense des droits de l’homme qui lui ont rendu visite le dimanche 28 juillet dans sa cellule. Les responsables desdites organisations affirment dans un communiqué rendu public lundi 29 juillet : « Contrairement à ce qu’une certaine opinion laisse croire, l’état de santé de M. Eugène Diomi Ndongala mérite une attention particulière de la part du gouvernement, Il éprouve des douleurs nerveuses aigues qui accablent gravement son bras droit et sa colonne vertébrale. Il lui a été administré, en dehors de tout examen spécifique préalable nécessaire, une quantité vertigineuse d’anti-inflammatoires qui ont entraîné à leur tour des douleurs gastriques intenses et des malaises au niveau de ses reins. Son bras droit doit être soutenu pour qu’il parvienne à serrer la main de ses visiteurs comme s’il a été atteint par une paralysie hémiplégique et lui-même ne parvient pas à se tenir debout durant cinq minutes ». Selon les mêmes sources, le médecin qui l’a consulté recommande qu’il soit soumis à des examens spécifiques dans une clinique spécialisée de la place, à l’instar du Centre Nganda ou de l’hôpital Biamba Mutombo, en vue d’un diagnostic approprié. Malheureusement, constatent-ils, cette demande rencontre une résistance farouche du Parquet Général de la République. En outre, les signataires du communiqué renseignent que depuis qu’il a accordé une interview à Rfi, Eugène Diomi Ndongala fait actuellement objet d’une surveillance serrée dans sa cellule, tel un malfrat. «Pourtant, sur le plan judiciaire, par sa décision rendue sous RP 014/CR le 15/04/2013, la Cour Suprême de Justice avait ordonné sa mise en résidence surveillée, qui signifie qu’il devait être sorti de la prison de Makala et placé sous surveillance policière dans sa résidence. Cette décision demeure non exécutée par le Procureur Général de la République qui maintient le député Diomi Ndongala à la prison de Makala comme un condamné, alors qu’à ce stade de la procédure, il n’est qu’un simple prévenuOn parle de plus en plus à travers la ville, de l’état de santé du député élu de la circonscription de la Funa à Kinshasa, Eugène Diomi Ndongala, qui croupit à la prison de Makala depuis le 8 avril 2013. Cela suscite des inquiétudes. Le constat est des organisations non gouvernementales de défense des droits de l’homme qui lui ont rendu visite le dimanche 28 juillet dans sa cellule. Les responsables desdites organisations affirment dans un communiqué rendu public lundi 29 juillet : « Contrairement à ce qu’une certaine opinion laisse croire, l’état de santé de M. Eugène Diomi Ndongala mérite une attention particulière de la part du gouvernement, Il éprouve des douleurs nerveuses aigues qui accablent gravement son bras droit et sa colonne vertébrale. Il lui a été administré, en dehors de tout examen spécifique préalable nécessaire, une quantité vertigineuse d’anti-inflammatoires qui ont entraîné à leur tour des douleurs gastriques intenses et des malaises au niveau de ses reins. Son bras droit doit être soutenu pour qu’il parvienne à serrer la main de ses visiteurs comme s’il a été atteint par une paralysie hémiplégique et lui-même ne parvient pas à se tenir debout durant cinq minutes ». Selon les mêmes sources, le médecin qui l’a consulté recommande qu’il soit soumis à des examens spécifiques dans une clinique spécialisée de la place, à l’instar du Centre Nganda ou de l’hôpital Biamba Mutombo, en vue d’un diagnostic approprié. Malheureusement, constatent-ils, cette demande rencontre une résistance farouche du Parquet Général de la République. En outre, les signataires du communiqué renseignent que depuis qu’il a accordé une interview à Rfi, Eugène Diomi Ndongala fait actuellement objet d’une surveillance serrée dans sa cellule, tel un malfrat. «Pourtant, sur le plan judiciaire, par sa décision rendue sous RP 014/CR le 15/04/2013, la Cour Suprême de Justice avait ordonné sa mise en résidence surveillée, qui signifie qu’il devait être sorti de la prison de Makala et placé sous surveillance policière dans sa résidence. Cette décision demeure non exécutée par le Procureur Général de la République qui maintient le député Diomi Ndongala à la prison de Makala comme un condamné, alors qu’à ce stade de la procédure, il n’est qu’un simple prévenu », dénoncent-ils. Avant de conclure ; « Tout porte à croire, en définitive, que Monsieur Diomi Ndongala, opposant farouche proche d’Etienne Tshisekedi et chantre frénétique du combat en faveur du triomphe de la vérité des urnes aux scrutins du 28 novembre 2011, est victime d’un harcèlement judiciaire à cause de ses opinions politiques ». Pour ce faire, ils recommandent : - Au Procureur Général de la République, de respecter l’esprit et la lettre des ordonnances de la CSJ (Cour suprême de justice) en mettant fin sans délai à la détention de M. Eugène Diomi Ndongala et à ne pas donner l’impression qu’il reçoit des injonctions des organes politiques contrairement à l’indépendance du pouvoir judiciaire consacrée dans la constitution de la République; - Au président de la République, en sa qualité de garant de la nation et magistrat suprême, de rappeler le PGR à l’ordre afin de faire échec à son intransigeance face aux décisions judiciaires valablement rendues - A la communauté internationale de s’impliquer afin d’obtenir la libération sans conditions de M. Eugène Diomi Ndongala qui demeure à ce jour un détenu d’opinions politiques. A ce sujet, les défenseurs des droits humains rappellent que le député Eugène Domi qui reste jusqu’ici un prévenu, a pleinement le droit de recevoir des soins. Et même une personne déjà jugée et condamnée, poursuivent-ils, a droit aux soins de santé parce que les textes de lois qui régissent la République les lui garantissent. Parmi les signataires du communiqué ayant rendu visite à Eugène Diomi Ndongala, Me Sylvain Lumbu Mbaya de la Ligue des Electeurs (LE), Me Jacob Baluishi de l’Observatoire Congolais des Droits Humains (OCDH), Mme Philomène Mukendi de « Anges du Ciel », Emmanuel Cole de la Fondation Bille Clinton pour la Paix (FBCP), Karul Mulunda du Centre pour les Droits Humains (CDH), Mme Marie Lukusa de la LE, Godé Kalonji de l’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ), Amédée Bobotobi de l’ASADHO, Aaron Mbongo du Comité Droits de l’Homme Maintenant (CDHM). Dom Source:lephare via 7sur7.cd Read more at http://www.congosynthese.com/actu.aspx?Id=1481#HrvHIxGizsPDBc7m.99 », dénoncent-ils. Avant de conclure ; « Tout porte à croire, en définitive, que Monsieur Diomi Ndongala, opposant farouche proche d’Etienne Tshisekedi et chantre frénétique du combat en faveur du triomphe de la vérité des urnes aux scrutins du 28 novembre 2011, est victime d’un harcèlement judiciaire à cause de ses opinions politiques ». Pour ce faire, ils recommandent : - Au Procureur Général de la République, de respecter l’esprit et la lettre des ordonnances de la CSJ (Cour suprême de justice) en mettant fin sans délai à la détention de M. Eugène Diomi Ndongala et à ne pas donner l’impression qu’il reçoit des injonctions des organes politiques contrairement à l’indépendance du pouvoir judiciaire consacrée dans la constitution de la République; - Au président de la République, en sa qualité de garant de la nation et magistrat suprême, de rappeler le PGR à l’ordre afin de faire échec à son intransigeance face aux décisions judiciaires valablement rendues - A la communauté internationale de s’impliquer afin d’obtenir la libération sans conditions de M. Eugène Diomi Ndongala qui demeure à ce jour un détenu d’opinions politiques. A ce sujet, les défenseurs des droits humains rappellent que le député Eugène Domi qui reste jusqu’ici un prévenu, a pleinement le droit de recevoir des soins. Et même une personne déjà jugée et condamnée, poursuivent-ils, a droit aux soins de santé parce que les textes de lois qui régissent la République les lui garantissent. Parmi les signataires du communiqué ayant rendu visite à Eugène Diomi Ndongala, Me Sylvain Lumbu Mbaya de la Ligue des Electeurs (LE), Me Jacob Baluishi de l’Observatoire Congolais des Droits Humains (OCDH), Mme Philomène Mukendi de « Anges du Ciel », Emmanuel Cole de la Fondation Bille Clinton pour la Paix (FBCP), Karul Mulunda du Centre pour les Droits Humains (CDH), Mme Marie Lukusa de la LE, Godé Kalonji de l’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ), Amédée Bobotobi de l’ASADHO, Aaron Mbongo du Comité Droits de l’Homme Maintenant (CDHM). Dom Source:lephare via 7sur7.cd Read more at http://www.congosynthese.com/actu.aspx?Id=1481#HrvHIxGizsPDBc7m.99

Saturday, July 6, 2013

REACTION OF AMNESTY INTERNATIONAL CONCERNING WHAT IS HAPPENING IN EGYPT

Amnesty International is warning against a crackdown on supporters of Mohamed Morsi, after documenting a new wave of arrests of Muslim Brotherhood leaders, raids on media and an incident in which a protester was killed by army live fire. Since former President Mohamed Morsi was deposed on 3 July, Amnesty International has spoken to eyewitnesses who were fired on by the army in a street near Rabaa Aladaweya Square in Cairo’s Nasr City that evening. Live ammunition was used on the pro-Morsi protest, and at least one demonstrator was killed. “We fear that the violence of the last few days could spiral into a new wave of human rights abuses,” said Hassiba Hadj Sahraoui, Amnesty International’s Deputy Director for the Middle East and North Africa Programme, amid reports that more pro-Morsi protesters were shot today as they marched on the headquarters of the Republican Guard in Cairo. “It also resurrects fears of the army’s abysmal record on human rights.” In a statement posted on Facebook, Egypt’s army said today that it would not suppress political groups and would uphold the right to protest and freedom of expression of all Egyptians. “It is hard to see evidence of the Egyptian authorities’ respect for freedom of assembly and expression when soldiers have shot a protester in the head who apparently posed no threat,” said Hassiba Hadj Sahraoui. Minutes after the army announced it had deposed the President, angry pro-Morsi protesters in Rabaa Al-Adaweya Square became involved in an altercation with soldiers securing the entry of the Square, and at the gate of a nearby military compound. In the ensuing violence, the army fired live ammunition into the air and at protesters. Amnesty International verified the death of at least one 20-year old protester who was shot in the head, and that at least three others were injured. Blood lay on the street on the morning of 4 July, in front of the gate of the military compound. Amnesty International spoke to eyewitnesses in the hospital, who had been shot. They said that the army had been shooting randomly from inside the military compound near the square. One had been shot while standing in the middle of the road, far from the gate of the compound, telling Amnesty International: “I saw soldiers behind the gate of the military compound shooting in my direction.” He had also seen someone on the other side of the street shot in the head. Another eyewitness present at the scene said: “I saw snipers on the roof of one of the buildings in the military compound”. “The army and security forces must immediately stop using live ammunition against people posing no threat to life,” said Hassiba Hadj Sahraoui. “They must stay impartial, do everything in their power to prevent, not cause, bloodshed, and uphold the right to peaceful protest without discrimination.” Under international human rights standards, law enforcement officers must not use firearms except in the imminent threat of death or serious injury, and only as a last resort. Intentional lethal force may only be used when strictly unavoidable in order to protect life. Eyewitness told Amnesty International that in the afternoon of 3 July, the army had tried to disperse the protests by shooting in the air and sending armoured personnel carriers in the direction of the protest, but they were stopped by the protestors. They also stated that the army blocked the entry and exit points of the square for three hours in the afternoon. One man interviewed by Amnesty International in the hospital said his legs were broken after an altercation with an army officer in which he fell from a military vehicle, and was not able to go to the hospital for two hours as the army had sealed the square. Amnesty International is calling for an independent and impartial investigation. Previous investigations into human rights abuses by the army or security forces led by army or public prosecutors have failed to provide justice. At least two leading members of the Muslim Brotherhood have been imprisoned amid reports of further arrests: Deputy Leader Rashad Bayoumi and Saad El-Katatni, the Chair of the group’s Freedom and Justice Party. Amnesty International is urging the authorities to either charge them with an internationally recognisable criminal offence, or release them. On 3 July, police raided television studios sympathetic to the Muslim Brotherhood, taking the channels of-air and arresting staff. At least two people are still detained. The Ministry of Health announced today that the political violence since 28 June had left 52 dead and over 2,619 injured. Under the rule of the Supreme Council of the Armed Forces following the ’25 January Revolution’, security forces including the army killed more than 120 protesters; military courts unfairly tried over 12,000 civilians; and the army arrested women protesters and subjected them to forced ‘virginity tests’. “If human rights and the rule of law are to prevail in Egypt, the army must now ensure that these abuses are not repeated,” said Hassiba Hadj Sahraoui. “A crackdown on supporters of Morsi is simply sending the wrong signal.” Additional background information ATTACKS ON PROTESTERS At around 3pm on 3 July, the military and riot police (Central Security Forces or CSF) were deployed in Rabaa Aladaweya Square, the site of a protest by the former President’s supporters. The military and riot police secured the main entry points to the Square. Eyewitnesses told Amnesty International that the army did not allow anyone to enter the Square, and that troops fired warning shots. At around 5:00 pm, armoured personnel carriers tried to move into the square to disperse the protest, but protesters stopped them by standing and lying in front of them. One protester interviewed in hospital told Amnesty International that he had climbed onto one of the APCs and told the soldiers that the army belonged to all Egyptians. He then got into an argument with an army officer, who pushed him off the vehicle, causing him to fall and break both his legs. An ambulance only arrived two hours later, but the army did not allow them to take him to hospital for another two hours. In the minutes after the army announced it had deposed President Mohamed Morsi, angry protesters became involved in a confrontation with soldiers guarding the entrance to the Square and the gate of a nearby military compound. While it is not clear how violence broke out, the army shot live ammunition both into the air and at the protesters. A 20-year old protester was killed after being shot in the head, and at least three others were injured. An eyewitness told Amnesty International that at the time of the shooting he saw snipers on the roof of the military compound. One of the injured, who was shot in the arm, told Amnesty International that he had been shot while he had been standing in the middle of the road, far from the gate of the military compound. He told the organization that the army had been shooting randomly, and that he had seen the army shoot one person on the other side of the street in the head. Another eyewitness, who was shot in the leg, told Amnesty International that he had been shot while standing outside the gate to the military compound. He said that the army started to shoot randomly from inside the compound, and that soldiers behind the compound’s gate had shot in his direction. When Amnesty International visited the site the next morning, it saw blood in the street, much of it in front of the gate of the military compound. The organization’s delegate also saw holes caused by shotgun pellets in street-light poles in the street where the people had been shot. RAIDS ON MEDIA Seconds after the army announced it had deposed President Mohamed Morsi, at least six stations were take off the air, including Hafez, Al Jazeera Mubasher, Al-Khalijia, Misr 25, Al-Nas, and Al-Rahma. All are known for their support of Mohamed Morsi. Just minutes later, security forces launched raids on the channels. Eyewitness told Amnesty International that police, special forces and plainclothes intelligence officers rounded-up the staff and held them in police vehicles. While the security forces let most of the workers go, they took at least 14 men away and held them in the Security Directorate in 6 October City. The Directorate then told visiting relatives and others that they were not holding them. Members of Al-Nas were reported to have been ill-treated in detention. At time of writing, all but two of the channels’ staff have been released. Hafez Channel Head Atef Abdelrashid and al-Fath’s Administrative Director Abdallah Abdallah continue to be held. The charges against them are unclear. The Freedom and Justice Party (FJP)’s newspaper has not been printed by the national press since 4 July. ARRESTS OF MUSLIM BROTHERHOOD MEMBERS Two leading Muslim Brotherhood figures have been arrested, Deputy Leader Rashad Bayoumi and Saad El-Katatni, the Chair of the FJP. Both are being held in Cairo’s Tora Prison. The group’s lawyer, Abdelminin Abdelmaqsoud, is also thought to have been detained as he went to attend interrogations at Tora Prison. The charges against them are as yet unclear. Amnesty International has urged authorities to promptly charge those arrested with an internationally recognizable criminal offence or release them. All those detained must be given access to their lawyers, families, and adequate medical care without delay. State newspaper Al-Ahram has reported the authorities have issued arrest warrants for 300 members of the Muslim Brotherhood, though the report is unverifiable. Former President Morsi himself is believed to be in the custody of the army. The organization has noted its serious concerns about the army’s human rights record, dating from the 17-month rule of the Supreme Council of the Armed Forces after Hosni Mubarak was ousted from power in February 2011. Army head Abdel Fattah al-Sisi had told Amnesty International there was a need to change the culture of the security forces to stop violence against demonstrators and to protect detainees against ill-treatment during a meeting with the organization’s Secretary General in June 2011. Yet under the rule of the SCAF the security forces, including the army, killed over 120 protesters, military courts unfairly tried over 12,000 civilians, and the army arrested women protesters and subjected them to forced “virginity tests”. The military promised effective investigations, but in practice chose to conduct investigations into abuses by its forces itself that were not independent and impartial. Military courts have only convicted three low-ranking troops of killing protesters, during a 17-month period of military rule in which over 120 people were killed by the army and security forces.

Saturday, May 18, 2013

VINGT MORTS DANS L'EFFONDREMENT D'UNE MINE EN RDC

RDC: 20 morts dans l'effondrement d'une mine Par Rédaction The Associated Press Partager cet article Plus de 20 personnes ont péri en République démocratique du Congo dans l’effondrement d’une mine, dans la région de Masisi, au Nord-Kivu, a indiqué le gouvernement congolais. Le communiqué acheminé aux reporters, tard vendredi, indique que la mine — près du village de Rubaye, dans l’est du pays —, s’est effondrée dans la soirée de vendredi. Des recherches sont en cours afin de retrouver de possibles survivants, selon dans le document, qui a été signé par le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende. Le Nord-Kivu est une région riche en minéraux, dont le coltan et l’or, et plusieurs des mines y sont exploitées dans l’illégalité. Le gouvernement congolais est à blâmer pour la perte inutile de vies.L'incapacité de mettre l'ordre dans le domaine minier est la cause principal.Beaucoup de gens ont trouvé la mort dans des sites miniers que des particuliers exploitent.

L'ARRESTATION DE DIOMI: LES RAISONS NON FONDEES AVANCEES PAR MR LE MINISTRE MENDE

C'est avec douleur que nous avons suivi les justifications,par le ministre Lambert des conditions de l'arrestation de Mr Diomi Mende.D'après ce dernier C'est tout à normal que Diomi soit incarceré dans un lieu inconnu pour des raisons qui ne sont pas claires. On sait bien que les lieux de détentions cachées sont l'oeuvre de sytèmes dictatoriaux où l'on détient des gens pour les torturer.La démocratie exige que la dignité de toute personne puisse être respecté surtout si la raison de son arrestation n'est pas un crime contre la nation.Nous ne croyons pas que les raisons que Mr Mende a avancées sont fondées.Mr Mende est bien connu pour sa défence d'un système décrié par les congolais.Mr Mende doit savoir que Mr Diomi a le droit de dire ce qu'il a vécu et non pas ce que lui(Mende) veut faire savoir à l'opinion nationale et internationale.Pourquoi organiser toute une séance pour expliquer l'arrestation de Mr Diomi?La Vérité est comme la fumée.Vous ne pouvez pas la cacher dans le sol.Elle finira par s'échapper.

Monday, March 25, 2013

LES MAI MAI "BAKATA KATANGA" CHERCHENT L'INDEPENDANCE DU KATANGA

La population de Lubumbashi a été surprise ce samedi 23 mars 2013 par une attaque organisée par un groupe de Maï Maï denommé "BAKATA KATANGA" dont la principale lutte est la Balkanisation du pays avec la restauration du Katanga entant que Pays.Cette tentative qui,après l'indépendance du Congo, fut l'oeuvre de la Belgique pour saboter le nouveau gouvernement,avait reçue l'appui de certains de nos compatriotes katangais à cause de l'instabilité dans la quelle les politiciens de l'époque avait plongé le pays.Le maillon faible pour faire tomber le gouvernement était la province du Katanga.On sait que le rêve de nos compatriotes a été de courte durée.La sécession katangaise n'est jamais allée plus loin, suite aux divisions entre les katangais eux-même.Juste qu'aujourd'hui, certains de nos frères continuent à rêver.Ils veulent encore,dans l'état actuel de la politique mondial,faire du Katanga un pays, à cause de l'instabilité politique et la pauvreté dans laquelle la population congolaise se retrouve.Sans pour autant appuyer cette nouvelle tentative, de séparer le Katanga du grand Congo,nous croyons que la situation actuelle au pays peut conduire chaque groupe de peuple à chercher son auto-détermination.C'est vrai que le Katanga est une province riche avec une population qui ne profite pas de sa richesse.Ceci est commun à toutes les autres provinces qui ne veulent pas se séparer du grand Congo.La sécession en ce moment ne profitera pas.C'est qui est bizarre est que certaines des personnes qui ont pillé le pays sont complices.Le Congo reste et restera uni par la Grâce de Dieu.